jeudi 7 juin 2007
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"- Réfléchissez longuement avant de dire machinalement « Salut, tu vas bien ? » à votre collègue de bureau. C’est l’un des effets papillons quotidiens les plus dévastateurs. Et il est aussi dangereux appliqué à un ami, à un parent, ou à toutes personnes capables d’en saisir le sens, d’entendre vos propos, ou de lire sur vos lèvres..."
J'aime cette pensée ; Il m'arrive d'en avoir de semblables.
Ici vous trouverez des salades et puis rien d'autre.
La nuit tous les escargots sont gris même en bourgogne...
"- Réfléchissez longuement avant de dire machinalement « Salut, tu vas bien ? » à votre collègue de bureau. C’est l’un des effets papillons quotidiens les plus dévastateurs. Et il est aussi dangereux appliqué à un ami, à un parent, ou à toutes personnes capables d’en saisir le sens, d’entendre vos propos, ou de lire sur vos lèvres..."
J'aime cette pensée ; Il m'arrive d'en avoir de semblables.
Plein de blues sympas
Je ne sais quoi vous dire...
Des idées j'en ai, trop,
beaucoup trop.
Etant parfaitement
bordélique j'ai beaucoup
de mal à les discipliner,
à les rendre présentables,
à les partager d'une façon claire.
La prose n'étant pas ma tasse de thé
je fonctionne en mode verbal
avec un penchant certain
pour le "private joke",
le jeu de mot foireux
et le calembour à deux balles.
Passant : Toi qui milite pour
la pureté linguistique et
la noblesse du verbe ;
tu n'as rien à faire ici !
L'effort monumental que
je suis en train de fournir
pour t'expliquer tout ça
me fait me poser la question
suivante :
Qu'est ce que je fabriques ici ?
Si tu en as la moindre idée,
alors vas y de ton commentaire
et soit le bienvenu
dans mon champ de salades.
beaucoup trop.
Etant parfaitement
bordélique j'ai beaucoup
de mal à les discipliner,
à les rendre présentables,
à les partager d'une façon claire.
La prose n'étant pas ma tasse de thé
je fonctionne en mode verbal
avec un penchant certain
pour le "private joke",
le jeu de mot foireux
et le calembour à deux balles.
Passant : Toi qui milite pour
la pureté linguistique et
la noblesse du verbe ;
tu n'as rien à faire ici !
L'effort monumental que
je suis en train de fournir
pour t'expliquer tout ça
me fait me poser la question
suivante :
Qu'est ce que je fabriques ici ?
Si tu en as la moindre idée,
alors vas y de ton commentaire
et soit le bienvenu
dans mon champ de salades.
SI TU VAS LA TU VERRAS...
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RAMASSE POUSSIERE
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1 commentaire:
oh un si beau cul de cochon. Sétipa malheureux de voir ça.
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